TIAHUANACO : La plus vieille ville du monde.   4 comments

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de l’ufologie, le paranormal, les sciences.

J’avais perdu une fois le lien de ce forum et en cherchant bien je l’ai enfin retrouvé !

Afin de pouvoir le consulter a loisir et aisément afin d’en transmettre le contenu à mes Amies et Amis, je le recopie intégralement ici.

Dans le cas ou un des acteurs de ces textes et photos reconnaitrait ses écrits et souhaierais ne plus voir figurer son oeuvre dans ce blog, qu’il se fasse connaître clairement en précisant sa demande et je me ferais un devoir d’accéder à sa colonté.

Le site d’origine est ici :

http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t13009-TIAHUANACO-la-plus-vieille-ville-du-monde.htm

Tous les hommes doivent de la reconnaissance à ceux qui approfondissent l’histoire universelle et s’efforcent de contribuer, par leurs travaux, au bien général de la société.- Diodore de Sicile

 

TIAHUANACO : la plus vieille ville du monde

Citation:

 » Un jour viendra où l’on pourra dire des civilisations classiques des Pharaons, des Chaldéens, des Brahames :

vous êtes cataloguées dans nos livres comme étant les plus anciennes, mais la science prouve que la civilisation pré-incaïque de Tiahuanaco est de plusieurs milliers d’années antérieure à la vôtre. « 

Porte du soleil

C’est par la porte du soleil que l’on pénètre de plain-pied dans le monde ignoré de Tiahuanaco, qui proclame son antique splendeur en Bolivie,à 4000 m d’altitude. Un jour de mai 1958, un Français venant de La Paz découvrit, sur un plateau sablonneux, une ville en ruine : Tiahuanaco. Ce Français, le journaliste Roger Delorme, connaissait l’histoire inca et les traditions des vallées andines. Il avait visité Cuzco, Pachacamac, Ollantaytambo, et admiré les colossales constructions de pierres géantes dont certaines pèsent plusieurs tonnes. Les anciennes cités incas, Machu Pichu en particulier, l’avaient fortement impressionné par une majestueuse harmonie malgré leur gigantisme. Mais à Tiahuanaco, devant les pierres et les statues éparses sur des kilomètres, devant cette Porte du Soleil ciselée comme un bracelet maure, il ressenti une emprise indéfinissable dépassant toute les émotions ressenties sur les hauts lieux du Pérou.
A Tiahuanaco, le désert était habité par un secret extraordinaire que l’esprit ne parvenait pas à identifier. Roger Delorme demeura plusieurs semaines sur le plateau bolivien, subjugué par la Porte du Soleil, interrogeant le monolithe brisé en son milieu (selon la tradition par une pierre jetée du ciel), questionnant les indigènes, essayant de donner un sens logique et scientifique aux paraboles, aux images et aux pétroglyphes.

Alentour, sur le plateau, des personnages monolithiques en grès, à grandes oreilles, avec des mains à quatre doigts, contemplaient de leur regard vide l’homme du XXème siècle qui essayait de comprendre leur message.

Ces statues de Tiahuanaco sont équipées
comme des cosmonautes


L’origine de Tiahuanaco se perd dans les millénaires. Les Incas, lors de la conquête du Pérou par Fernand Pizarre, prétendaient qu’ils n’avaient jamais connu Tiahuanaco autrement qu’en ruine. Les Aymaras, le plus ancien peuple des Andes, disaient que la cité était celle des premiers hommes de la Terre et qu’elle avait été créée par le Dieu Viracocha avant même la naissance du soleil et des étoiles.

L’énigmatique Rénovateur de la Religion du Soleil inca ; M. Beltran Garcia, biologiste espagnol et descendant direct de Garcilaso de La Vega, le grand historien de la Conquête ; tenait de son aïeul des documents inédits relatifs aux traditions andines. La Porte du Soleil, en elle-même, n’était qu’un témoignage incomplet. Les traditions andines, en elles-mêmes, n’étaient qu’une affabulation. Le tout, juxtaposé, faisait succéder aux interprétations des mythologies et des traditions américaines, égyptiennes, grecques et même babyloniennes, une explication enfin acceptable.

L’histoire, qui s’arrêtait aux dernières dynasties pharaoniques, venait de faire un bond dans le passé et se prolongeait maintenant jusqu’au dixième millénaire avant notre ère, sinon plus loin.

Voici ce que révélaient les documents secrets de Garcilaso de La Vega, traduits et commentés par M. Beltran :

Citation:

Les écrits pictographiques de Tiahuanaco disent que dans l’ère des tapirs géants, des êtres humains très évolués et d’un sang différent du nôtre, trouvèrent à leur convenance le lac le plus haut de la Terre ( Titicaca). Au cours de leur voyage interplanétaire, les pilotes lancèrent leurs excréments sans atterrir et donnèrent au lac la forme d’un être humain couché sur le dos. Ils n’oublièrent pas le nombril, endroit où se poserait notre première Mère, chargée de l’insémination de l’intelligence humaine. Cette légende, hier, nous aurait fait sourire. Aujourd’hui nos hommes-grenouilles copient artificiellement les doigts palmés des colons de Tiahuanaco. Des indigènes andins vivent à des altitudes où le Blanc ne pourrait s’acclimater, ce qui est la preuve qu’il peut exister un autre sang. Dans leurs puissants télescopes, les visiteurs sidéraux cherchèrent donc une altitude et un lac favorables à leur organisme et à leur vie amphibie. A noter que pour ruiner la tradition et discréditer le lac dans l’esprit des Andins, les cartes géographiques le représentèrent jusqu’en 1912 avec une forme presque ronde. Au nom légitime du lac : Titi (lac du mystère et du soleil), on ajouta le suffixe caca qui, dans beaucoup de langues, signifie excrément.

Ainsi donc, les documents du descendant de Garcilaso de La Vega faisaient état d’une Eve d’origine extra-terrestre et d’engins interplanétaires. Ils donnaient aussi des précisions étonnantes :

Citation:

A l’ère tertiaire (il y a environ 5 millions d’années), alors que nul être humain n’existait encore sur notre planète peuplée uniquement d’animaux fantastiques, un aéronef brillant comme l’or vint se poser sur l’île du Soleil du lac Titicaca. De cet aéronef descendit une femme ressemblant aux femmes actuelles pour tout le corps des pieds jusqu’aux seins ; mais elle avait la tête en forme de cône, de grandes oreilles et des mains palmées à quatre doigts. Son nom était  » Orejona  » (grandes oreilles) et elle venait de la planète Vénus où l’atmosphère est à peu près analogue à celle de la Terre. Ses mains palmées indiquaient que l’eau existait en abondance sur sa planète originelle et jouait un rôle primordial dans la vie des Vénusiens. Orejona marchait verticalement comme nous, elle était douée d’intelligence et sans doute avait-elle l’intention de créer une humanité terrestre, car elle eut des relations avec un tapir, animal grognant marchant à quatre pattes. Elle engendra plusieurs enfants. Cette progéniture née d’un croisement monstrueux naissait avec deux mamelles, une intelligence amoindrie, mais les organes reproducteurs restaient ceux du tapir-cochon. La race était fixée. Un jour, sa mission accomplie, ou peut-être lasse de la Terre, et désireuse de revenir sur Vénus où elle pouvait avoir un compagnon à son image, Orejona reprit son vol en astronef. Ses enfants par la suite, procréèrent, se vouant surtout au destin de leur père tapir, mais dans la région de Titicaca une tribu demeurée fidèle à la mémoire d’Orejona développa son intelligence, conserva ses rites religieux et fut le point de départ des civilisations pré-incaïques. Voilà ce qui est écrit sur le fronton de la Porte du Soleil à Tiahuanaco.



Orejona la « vénusienne »

Bien sûr, il faut savoir faire la part des choses, cependant l’ensemble laisse à réfléchir. L’énigme la plus troublante néanmoins reste celle de l’édification de cette étrange cité perdue au cœur du haut plateau désert. Aucune carrière, aucune roche ne sont visibles à proximité. Quelle est l’origine des matériaux utilisés pour la construction de la ville durant la phase impériale ? Par quels ingénieux moyens, en mettant en oeuvres quelles énergies ces pierres monumentales furent-elles transportées ici ?

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NDLR : Il faut rapprocher l’origine de ces dalles monumentales de celles de Balbek dont une de plusieurs centaine de tonnes est encore dans la carrière, pas tout a fait séparée du massif rocheux duquel elle à été taillée….et aussi a celle, non moins mystérieuse sur laquelle semble posé la Parthénon, en Grèce…En octobre 2010, j’ai visité ce site et ai ramené quelques photos de la surface de cette dalle, si étrange que aucun guide ne semblait la connaître !


Il semblerait que le Parthénon ait été posé là car la dalle y était déja auparavant, la question étant de savoir qui l’a posée là et pourquoi ? A sa surface, il existe des petites zones qui ont une apparence de roche fondue sous très haute température..celà fait comme des petites bulles (voir la troisième photo). La guide n’a pu expliquer les encoches rectangulaires de la dernière photo. !!

Voir : http://rr0.org//science/crypto/archeo/enquete/dossier/Baalbek/index.html

http://www.tout-sur-google-earth.com/t4332-la-plus-grosse-pierre-taillee-du-monde-baalbek-liban

http://www.choix-realite.org/4069/baalbek-la-plus-grosse-pierre-taillee-sur-terre

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L’époque est révolue où un jésuite espagnol relata dans sa chronique l’action magique selon laquelle  » les grandes pierres que l’on voit à Tiahuanaco furent transportés dans les airs au son d’une trompette  » (ultrasons ?) dont jouait un être doué de dons… pour le moins exceptionnels. L’examen pétrographique des matériaux ont permis de retrouver les carrières correspondantes à 100 et même 300 kilomètres de là. Ce qui oblige à admettre que des monolithes dont certains pèsent plus de 100 tonnes furent transportés sur des distances considérables à travers des terrains généralement accidentés. Rappelons que les mystérieux bâtisseurs ne disposaient pas de bêtes de traits, et ne connaissait ni la roue ni le fer.

Saura-t-on jamais pourquoi la ville, dont certains édifices semblent inachevés, fut abandonnée pour toujours ?

Les divinités géantes qui veillent toujours sur elle ont perdu la voix… Mais la parole reste, bien sûr, aux archéologues…

La cité de Tiahuanaco pose à mon avis un problème intéressant.

En effet la présence de quais très étendus laisse a penser que la ville était un port du lac Titicaca. Or Tiahuanaco se situe actuellement à environ 18 kilomètres au sud du lac, ainsi qu’à plus de 30 mètres au-dessus du niveau actuel du lac.

Nous savons que le lac Titicaca, et le plateau de l’Altiplano sur lequel il est situé, ont, depuis toujours, beaucoup bougé. En effet l’ancienne rive nord du lac est visible à 88 mètres plus haut que son niveau actuel, alors que 60 kilomètres plus au sud, la même rive se situe 82 mètres plus bas.

C’est ce mouvement de l’Altiplano qui a permis aux professeurs Ponansky et Müller d’affirmer que Tiahuanaco n’était pas construite en -500, comme l’affirme la chronologie orthodoxe, mais en -15 000, et qu’elle aurait subie la colère d’une catastrophe naturelle onze millénaires avant notre ère.

Alors, Tiahuanaco, la plus vieille ville du monde?

Que nous apprend la légende sur la ville mystérieuse de Tiahuanaco?

Elle parle d’un vaisseau doréqui descendit des étoiles ; à bord de celui-ci il y avait une femme nommé Orjana dont la mission était de fonder une race nouvelle. Les mains d’Orjana étaient palmées et ne comptaient que quatre doigts. Elle donna le jour sur terre à 70 enfants, puis regagna les étoiles. De fait, on trouve à Tiahuanaco, gravés ou taillés dans la pierre, des êtres qui n’ont que quatre doigts. Ces figurines sont aussi anciennes que la ville elle-même.

On peut présumer que le cosmonaute, l’Homme de Tiahuanaco, tout comme Prométhée, a dû payer le tribut de son inadaptation à l’atmosphère épaisse, torride des plaines arabiques. Alors, se référant aux carte que découvrit plus tard Piri Réis. par-delà la mer Rouge, il se dirigea vers le pays des cimes neigeuses, éparpillant sur sa route, en Arabie, en Chaldée, en Assyrie, des bribes de son savoir. Et l’on songe à Prométhée, initiateur des hommes, châtié par Jupiter et enchaîné précisément – selon la tradition grecque – sur la cime du Caucase, à une altitude qui est exactement celle du plateau des Andes.

La ressemblance est troublante entre l’Atlante, fils d’Orejona aux jolis pieds, et Prométhée, fils de l’Océanide aux jolis pieds. Quoi qu’il en soit, quelque 10 00 ans avant notre ère, Tiahuanaco entrait dans la nuit de l’oubli et Abybos, Heliopolis, Thèbes, Memphis, Karnac et Saïs ouvraient pour le monde occidental les premières pages de l’Histoire inconnue des Hommes.

À l’appui de cette relation, une cosmographie gravée sur la paroi rocheuse d’une grotte du Kohistan représente Vénus et la Terre reliées par des traits qui figurent une route spatiale. Or, cette origine des hommes, exprimée par l’Orient, appartient aussi à la cosmologie musulmane, et apporte une lumière singulière sur notre primhistoire, racontée par l’Ancien Testament des Hébreux.


La Reine de la Nuit, Ancienne Babylone, -1800 à -1750, Iraq. On l’appelle Arinna, déesse principale du panthéon hittite.
Son nom complet, Déesse-soleil d’Arinna.

Littéralement, ou presque, la Bible relaterait ainsi la création du monde :«Au début Dieu créa le Ciel puis la Terre.» «Adam et Ève vivaient au Paradis (sur la planète Vénus).» «Après le péché qui leur fit perdre la divine protection, ils furent chassés (de la planète Vénus) et durent s’exiler sur la Terre…»

Le Coran dit expressément qu’Adam vivait ailleurs que sur la Terre.

Lucifer, que l’on a grand tort de confondre avec Satan, est en réalité un Ange du Ciel, mais un ange déchu pour avoir, comme Prométhée, apporté aux hommes la lumière de la science divine. Il symbolise aussi et depuis toujours la planète Vénus, luciférienne par sa lumière exceptionnelle. Par ailleurs, d’après la tradition chrétienne, la chute de Lucifer a précédé la Création du Monde, alors que le prophète Isaïe déclare que cette chute se produira dans le futur, contradiction qui embarasse fort les théologiens ! Qui dit vrai? Est-il venu sur Terre, l’homme de Vénus, ou viendra-t-il bientôt? En se sens, Lucifer, issu de Vénus, aurait peuplé la Terre de sa «première humanité» comme l’assurent les Hindous et comme on peut l’interpréter d’après la Bible. Et c’est vers Vénus – inéluctable retour à la patrie originelle – que les cosmonautes veulent tenter leur grands raids spaciaux, avec d’autant plus de raisons inconscientes et conscientes que sur la planète de Lucifer les probalités d’ine vie analogue à la vie terrestre paraissent plus grandes que partout ailleurs. Voilà donc, convergeant vers Vénus, un faisceau prodigieux… une chaîne de crédibilités dont les maillons naissent au plus profond de nos âges !

De Tiahuanaco, de Glozel, des Indes, de l’Égypte, de l’Asie-Mineure, etc., le secret trahi de la tradition clame plus qu’une effarante hypothèse ! La science classique n’apporte aucune preuve, aucun indice de l’origine terrestre des hommes. En revanche, la tradition, avec une véhémence millénaire, soutient cette thèse qui, de jour en jour, recueille des adhésions nouvelles. Elle présente aussi, comme le voyageur revenu d’une lointaine expédition, les marques et les témoignages de cette aventure, les moteurs mystérieux de la Porte du Soleil, les briques à écriture de Glozel, les gravures rupestre du Kohistan, les énigmatiques et fascinants enseignements de la science de Prométhée, de Lucifer et de Mahomet. Est-ce là tout l’héritage insolite de nos lointains ancêtres? Il n’est guère venu à l’esprit des partisans d’une immigration planétaire, Flammarion, Richter, Kelvin, Robert Tocquet, de rechercher dans notre civilisation, dans notre science, architecture ou notre industrie, ce qui paraissait étranger au génie terrestre. Nous trouvons pourtant, tout autour de nous, de curieux indices.Il se pourrait que des êtres venus des planètes, incapables de supporter longtemps l’atmosphère terrestre, se soient enfoncés dans le sol, laissant à la surface l’incompréhensible trace de leur passage. Incompréhensible pour nous, mais non pour ceux de leur race. Des ancêtres supérieurs auraient donc habité fabuleuse Agartha, la cité sous la terre, en y pénétrant par le Dolmen de Do-King au Tibet, comme ils auraient pénétré dans d’autres centres souterrains de Bretagne, de Palestine et des Indes, c’est-à-dire aux points du globe où foisonnent les dolmens ou les grottes. En ce sens, les alignements des mégalithes de Carnak en France prennent une autre signification fantastique qui fut mentionnée par la mythologie des Celtes, et il est intéressant de noter que les extra-planétaires des Andes, avant de s’exoder vers l’Égypte, s’enterrèrent dans la cité souterraine de Tiahuanaco, ce qui est pour le moins une coïcidence exagérée…

De toute façon, une immixtion extraterrestre, avant ou durant le cataclysme, ressort de la connaissance scientifique extraordinaire que l’on prête aux hommes de ces temps là. De multiples indices accréditent cette thèse, les plus remarquables se situant en ancien Pérou (qui comprenait la Bolivie) avec les traditions, le matériel insolite des Incas, et les dessins gravés de Tihuanaco, et au Mexique où ils sont très perceptibles pour l’archéologue averti.
Quetzalcoatl, le dieu blanc toltèque, à la fois serpent et oiseau, était le grand ami des humains à qui il apporta la civilisation, la connaissance des arts, du feu, de la métallurgie exactement comme firent Prométhée et Oannès.

Les Toltèques et les Aztèques le disaient venu de la «planète brillante» (Vénus) et précisaient que sa peau était blanche, détail qui indiquait bien une appartenance étrangère à la race rouge.

Quetzalcoatl «s’embarqua sur la mer de l’Est, précédé de ses serviteurs transformés en oiseaux au gai plumage, et promettant à son peuple de revenir».
Or, il est significatif de noter que la plupart des grands initiateurs du monde antique sont mystérieusement rattachés au pays d’Ouest, à la planète Vénus, et qu »ils repartent vers l’est pour une destination inconnue.

Viracocha, chez les Incas, était une sorte de Prométhée d’origine étrangère – tout comme Orejona la Vénusienne* «il s’éloigna vers l’est et disparut dans les eaux».

Kukulcan, dieu yucatèque «arriva de l’ouest avec dix-neuf compagnons. Il demera dix ans au Yucatan, y établit des lois sages et disparut du côté où le soleil se lève».

Tiahuanaco et les Mystères des Cités Incas

Extermination et destructions ont malheureusement fait perdre à jamais à l’humanité une grande partie des richesses de cette civilisation. Les sites archéologiques qui sont parvenus jusqu’à nous restent pour la plupart des énigmes.
Machu Picchu ou Tiahuanaco nous transmettent un savoir et nous délivre des messages importants pour l’avenir de l’humanité.
Je suis intimement persuadée que les légendes ne sont pas le fruit de l’imagination de quelques peuplades primitives. Héritage oral pour la plupart, elles sont là pour nous rappeler que, malgré toute notre technique sophistiquée, il nous reste le plus important à apprendre.
Saurons nous les déchiffrer à temps ?

C’est en 1911 que Hiram Bingham découvrit sur les flancs du Machu Picchu (la « Vieille Cime » en quechua) à 2350 m d’altitude, des ruines précolombiennes dissimulées sous une épaisse végétation. Il croyait avoir touvé là les ruines de la mythique Vilcabamba, l’ancienne forteresse où s’étaient réfugié les derniers Incas après la conquête espagnole. Depuis sa découverte, cette cité de granit étagée sur plusieurs terrasses, qui surplombe les gorges du Rio Urubamba sur la crête d’une montagne abrupte, est restée nimbée d’un profond mystère. II semble. en effet. que même au temps de l’Empire inca, l’accès en était réservé à quelques élus. II s’agissait vraisemblablement d’un sanctuaire.

Tout comme Pachacamac et les autres lieux sacrés de l’Empire inca, Machu Picchu abritait des prêtres, des hauts fonctionnaires, des domestiques, des artisans, et surtout des acclas, ces vierges consacrées au service du dieu-Soleil. On ignore tout de son rang administratif à l’époque inca : son importance aurait pu en faire une llacta (capitale de province). Aussi bien pendant la Conquête qu’à l’époque de la colonie, les Espagnols ne découvrirent jamais Machu Picchu, car du bas de la vallée, le site est invisible. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer la disparition de ses occupants : épidémie, exode – ou bien peut-être génocide – lors de la cruelle guerre civile qui déchira l’empire avant sa chute. Les Incas n’en ont laissé aucune explication écrite ou orale.
Les fouilles effectuées sur le site n’ont pas résolu le mystère. On y a trouvé près de 170 squelettes dont 150 de femmes, mais aucun objet en or. Dans la tombe dite de « la grande prêtresse », on découvrit les restes d’une femme et d’un chien avec quelques objets de céramique, deux broches et un vêtement de laine…

La cité découverte par Bingham demeura inaccessible au commun des mortels jusqu’à ce qu’une mission archéologique redécouvrit en 1940 le Camino del Inca qui, partant de la vallée du rio Vilcanota mène à la citadelle. Mais l’on savait déjà à cette époque – par de récentes découvertes – que Machu Picchu n’était pas la seule cité oubliée de cette région limitrophe de la forêt vierge et qu’elle était en fait entourée de nombreux autres sites, probablement contemporains dont les plans et l’organisation de l’espace étaient assez semblables, comme Ollantaytambo, Winay Wayna, Choquequirao… Tous ces sites semblent indiquer que les derniers Incas de la cordillière de Vilcabamba avaient su maintenir, en dépit de la conquête, un sanctuaire assez densément peuplé autour d’eux. Les incursions répétées et la féroce chasse à l’Indien organisée par les Espagnols à partir de 1550 fit se réduire cet espace de résistance comme peau de chagrin, avant de le faire disparaître tout à fait.

Rigole à eaux pluviales (Machu pichu)

Machu Picchu, le nom quechua qui signifie « Vieille montagne ». Il est construit par l’Inca Pachacutec, est considéré comme le joyau architectural et archéologiques les plus importants de la culture Inca. Il est au Pérou, il est en la liste du patrimoine mondial par l’Unesco depuis 1983 et ce dans un placer culturel et écologique appelé le sanctuaire historique de Machu Picchu. Le 7 Juillet, 2007 Machu Picchu a été déclarée l’une des merveilles du Nouveau Monde.

Elle est située à 130 kilomètres au nord de Cusco, dans le train 3 heure de la ville, ou 3 jours de marche le chemin des Incas.

À Machu Picchu sont les restes de bâtiments qui ont été remplis d’or et jardins fantasy, des idoles et des offrandes, égal au temple de Qorikancha à Cusco.
Ceci est boisée et pluvieux climat tropical. Situé au milieu de montagnes escarpées et bordé par le canyon formé par la rivière Urubamba qui passe dans cette partie du bassin de Vilcanota. La rivière Urubamba est le même comme donnant lieu à la Vallée Sacrée des Incas

Il est composé de plusieurs domaines, ils sont :
· Zone agricole
· Zone urbaine
· Secteur hanan
o Temple du soleil
o Royal résidence
o Place sacrée
o La pyramide intihuatana
· Secteur urin
o Sacré-rock
o Groupe de trois couvertures
o Groupe des mortiers ou acllahuasi
o Condor group
o Étapes sources

Les archéologues traditionalistes s’accordent à dire que la construction ne peut remonter avant le début du 15è siècle.
Mais d’autres archéologues ont contesté cette hypothèse. Rolf Müller, professeur d’astronomie, qui a étudié le site a affirmé dans les années trente que les vestiges comportaient des alignements astronomiques significatifs.
En appliquant des calculs complexes, il en arriva à la conclusion que la cité avait été construite entre 4 000 et 2 000 avant notre ère.


Bien évidemment, cette théorie est considérée comme une hérésie. En effet, cela voudrait dire que Machu Picchu est plus ancienne que la pyramide de Kheops.

Tiahuanaco : la cité du mystère

Dès le 16è siècle, les conquistadors entendirent parler de légendes entourant cette cité. Ils y découvrirent des ruines abandonnées depuis déjà longtemps.
Depuis, plusieurs chercheurs entreprirent des études archéologiques pour dater l’origine de la cité.

Arthur Posnanski conclut que les origines de cette cité remonteraient à plus de 10 000 ans. Les archéologues plus orthodoxes exprimèrent leur désaccord et avancèrent comme date la plus ancienne 100 ans avant notre ère.

Le point le plus déroutant est que la cité avait autrefois un port, les vestiges sont là pour en attester. Ce port était situé sur le rivage du lac Titicaca.

Donc ces vestiges que nul ne peut nier posent le problème suivant :

Les grandes transformations géologiques s’effectuent sur de très longues périodes. L’ensemble de l’Altiplano a été soulevé, sans doute à l’occasion des bouleversements géologiques qui présidèrent à la formation de l’Amérique du Sud.

Il est prouvé que Tiahuanaco était autrefois au bord du lac. Partant de ce fait, soit depuis sa construction, le niveau du lac a considérablement baissé ; soit, le terrain sur lequel se situe la cité s’est surélevé.

Le problème c’est que le soulèvement de l’Altiplano s’est produit avant l’apparition de l’homme.

Quand Tiahuanaco a-t-il été construit ?

Le Professeur A.Posnansky a consacré 50 ans à étudier la cité. Il a livré ses conclusions dans un ouvrage intitulé Tiahuanacu : The Cradle of American Man.

Il y expose ses calculs archéo-astronomiques qui ont été corroborés par plusieurs savants dont le Docteur Hans Ludendorff (Directeur de l’observatoire astronomique de Postdam à l’époque), plusieurs astronomes et astrophysiciens.

Sa conclusion est la suivante :

Les alignements solaires des diverses structures ont été déterminés en fonction d’observations des cieux.

Les astronomes confirment que cette observation est largement antérieure à 500 avant notre ère.

La date de – 15 000 ans avancée par Posnansky est beaucoup plus vraisemblable.

Tiahuanaco a donc été édifié bien avant l’aube des temps préhistoriques.

La porte du soleil

On peut distinguer sur la base de cette frise une tête d’éléphant. Le dessin est inattendu car les proboscidiens ont disparu d’Amérique du Sud à la fin du Pléistocène c’est-à-dire il y a 10 000 ans.

Une autre espèce identifiée qui apparaît est le Toxodon, un mammifère amphibien qui a prospéré en Amérique du Sud à la fin du Pliocène (1,6 millions d’années) et s’est éteint à la fin du Pléistocène (vers – 12 000 ans).

On trouve pas moins de 46 têtes de toxodontes ciselées dans la frise.

D’autres représentations d’espèces disparues ont été découvertes sur le site : le Shelidoterium et le Macrauchenia.

Le Macrauchenia était un ongulé sud-américain qui a disparu il y a 10 000 ans.

Macrauchenia

Il est à noter que la fin du Pléistocène a marqué une extinction de nombreuses espèces à travers le monde.

En effet, à la fin de cette période, tous les animaux porteurs de trompe, les éléphantidés, les félins aux dents de sabre, les chalicothères et bien d ‘autres espèces sur tous les continents se sont éteints.

Pourtant, les représentations sont bien là et par définition, on ne peut dessiner ou sculpter que ce que l’on connaît.
Ces animaux ont bien été représentés d’après nature.

Cela confirme sans aucun doute quoiqu’en dise les archéologues « traditionalistes » que Tiahuanaco a bien été construit avant la fin du Pléistocène.

Un site inachevé

Tiahuanaco n’a jamais été achevé. Les travaux et représentations ont été arrêtés comme si la civilisation qui avait érigé ces bâtiments s’était brusquement éteinte.

Il semble probable qu’un évènement brutal soit survenu. Un cataclysme semble avoir frappé la cité au onzième millénaire avant notre ère.

La découverte d’une flore lacustre mêlée à des ossements humains tendrait à prouver qu’il s’agit d’une inondation.

Une chose est sure et les géologues le confirment, des tremblements de terre ont ravagé la région. Ils eurent pour conséquence de faire monter le niveau des eaux.
Le climat devint beaucoup plus froid.

Ce qui est encore plus surprenant c’est que la population n’a pas quitté Tiahuanaco immédiatement. En effet, on a retrouvé des preuves d’expériences agricoles sophistiquées.
Ces expériences semblaient avoir pour objectif de compenser la détérioration du climat.
Notamment, des analyses chimiques de plantes ont été effectuées.
Mais par qui ? A une époque où nos ancêtres vivaient encore dans des grottes.

Selon des articles parus dans Nature, la dernière inversion géomagnétique a eu lieu il y a 12 400 ans.


Cette date coïncide étrangement avec la disparition de la civilisation de Tiahuanico et de nombreuses espèces animales sur Terre.
A quand la prochaine catastrophe planétaire ? La réponse est peut-être dans l’alignement des structures.

Nous ne le saurons sans doute jamais, de même que cette civilisation restera probablement une légende aux yeux de la communauté scientifique traditionaliste.

Sources et liens divers :

http://www.fileane.com/docpartie1/tiahuanaco.htm
http://www.fileane.com/docpartie1/andesphoto.htm
http://www.fileane.com/docpartie4/sourceinitiatique/dessins_rupestres_andes…
http://www.zepheon.com/html/a-simili-arts-mv18.html
http://dark-legions.kazeo.com/Anciens-Vestiges/Tiahuanaco-les-mysteres-des-…

EDIT – Rama (24/02/2011)
Liens morts, remplacés ci-dessus.

http://www.fileane.com/organiser_reseau/tiahuanaco.htm
http://www.fileane.com/organiser_reseau/venus_atlantide.htm

Elargissement du problème

De toute façon quand tu vois les similitudes entre une génese de mesopotamie , les mythologies indo européennes et l’ histoire de l’ origine des incas par exemple. Tu te dis que ce n’est pas possible, c’est forcement les mêmes ou une histoire commune Shocked

Les Hypothèses extravagantes sur Tiahuanaco

Hypothèse 1

Des extraterrestres (venus d’Orion) curieux de connaître le degré d’évolution que les humains avaient atteint il y a 10.000 ans, firent une visite sur Terre.

Furieux de ce qu’ils trouvèrent, ils ne purent accepter les dérives et la débauche à laquel s’adonnaient les hommes. Pour les punir, ils firent monter les eaux de la planète pour anéantir cette civilisation avancée (dont le sphinx porte les traces).

Quelques survivants en réchappèrent, réfugiés dans de hautes montagnes (Machu Pichu, Tiahuanaco). Ils reconquérirent la Terre jusqu’en basse Egypte où ils édifièrent les pyramides grâce à d’anciennes technologies oubliées.

Ils surveillèrent ensuite le calendrier astronomique de peur que les dieux ne reviennent sur Terre à intervalles réguliers (Stonehenge, Théotihuacan). Ils construisirent également des monuments à leurs mesures (île de paques, les pyramides) et en leur honneur.

Afin de guider leur retour sur Terre, ils édifièrent des pistes d’atterissage, visibles du ciel avec un symbolisme animal pour les guider (des légendes prêtent à ces dieux le pouvoir de parler aux animaux et de prendre leur apparence).

Ils nous laissent aujourd’hui avec des vestiges archéologiques dont la fonction et la construction nous échappent, mais pourquoi nos ancêtres se seraient-ils donné tant de mal, s’ils n’étaient pas certains q’une présence divine est dans le ciel ?

Hypothese 2:

Géants et Vénusiens …

Les légendes locales associées à Tiahuanaco et le peu d’informations recueillies jusqu’à ces dernières années ont permis à des auteurs d’élaborer les hypothèses les plus extravagantes sur les origines de la cité mystérieuses.

Le règne des géants…

Au début des années 1950, Denis Saurat, en s’appuyant sur les théories de l’Allemand Hoerbiger, élabore une incroyable théorie : il y a 300 000 ans, la Lune aurait été si proche de la Terre que sa force de gravitation aurait provoqué la naissance d’une race de géants de trois mètres de haut en même temps que la formation, autour de la planète, d’un bourrelet fixe des eaux océaniques montant à plus de 3 000 mètres dans la région andine.

Tiahuanaco aurait donc été, à cette époque, un port de mer habité par des humains gigantesques et hautement civilisés !

Hypothese 3:

La colonie vénusienne…

Dans les années 1960, un « rénovateur de la religion du Soleil inca », un certain Beltran Garcia, prétend qu’un astronef originaire de Vénus se serait posé sur les rives du Titicaca et que ses habitants y auraient fondé Tiahuanaco.

Ces événements se seraient produits il y a cinq millions d’années… Les idoles géantes seraient les représentations des voyageurs vénusiens.

Tout en rapportant le fait à environ 10 000 ans avant notre ère, Robert Charroux soutient de même que les Vénusiens sont venus fonder une sorte de colonie à Tiahuanaco, parce que là se trouvait un des rares endroits sur Terre correspondant à leur milieu naturel !

Hypothèse 4:

Et l’Atlandide…

Certains de ces explorateurs extraterrestres seraient partis visiter la Terre au risque de leur vie, et c’est à eux que l’on devrait la naissance des grandes civilisations antiques.

Tiahuanaco et l’Atlantide ne feraient donc qu’une…
Mais leur acclimatation à la Terre n’ayant pas réussi, les Vénusiens auraient disparu, laissant leur dernier message sur la frise d’un des bâtiments :
la « porte du Soleil ».

source: http://homme-et-espace.over-blog.com/article-31558146.html

Ce lien creuse aussi encore un peu plus la relation venusienne de nombreuses croyances / legendes terrestres

Origines du peuple Inca. 

Il y a très longtemps, à l’emplacement actuel du lac Titicaca, était une vallée fertile peuplée d’hommes vivant heureux et tranquilles. Rien ne leur manquait : la terre était riche et leur procurait tout ce dont ils avaient besoin. Sur cette terre, on ne connaissait ni la mort, ni la haine, ni l’ambition. ( = Le paradis terrestre l’ EDEN sumerien)

Les Apus, les dieux des montagnes, protégeaient les humains (= les dieux de l’ olympe) ils ne leur interdisaient qu’une seule chose : personne ne devait monter aux sommets des montagnes où brûlait le Feu Sacré ( = l’interdit du fruit l’ arbre d ela connaissance et promothée grec et le voleur de feu) Pendant longtemps, les hommes ne pensèrent même pas à enfreindre cet ordre des dieux. Mais le diable, esprit malin condamné à vivre dans l’obscurité, ne supportait pas de voir les hommes vivre si paisiblement dans la vallée. Il voulut diviser les hommes en semant la discorde. Il leur demanda de prouver leur courage en allant chercher le Feu Sacré au sommet des montagnes.( = la tentation du serpent en mesopotamie)

Alors un beau jour, dès l’aube, les hommes commencèrent à grimper aux montagnes, mais à mi-chemin, ils furent surpris par les Apus. Ceux-ci comprirent que les hommes leurs avaient désobéi et décidèrent de les exterminer.( = idem que le mythe sumerien, dieu punit les hommes fautif de l’avoir trahi)

Des milliers de pumas sortirent des cavernes et se mirent à dévorer les hommes qui suppliaient le diable de les aider. Mais celui-ci restait insensible à leurs suppliques. ( = la legende grecque de cronos , ou les geants mesopatamens qui detruise et mangent les hommes)

Voyant cela, Inti, le dieu du Soleil, se mit à pleurer. Ses larmes étaient si abondantes qu’en 40 jours, elles inondèrent la vallée (= le mythe du deluge) Un homme et une femme parvinrent à se sauver sur une barque en jonc ( = Noe et son arche). Quand le soleil brilla de nouveau, l’homme et la femme n’en croyaient pas leurs yeux : sous un ciel bleu et pur, ils étaient au milieu d’un lac immense. Au milieu des eaux flottaient les pumas qui s’étaient noyés et s’étaient transformés en statues de pierre. Ils appelèrent alors ce lac le lac « Titicaca », le lac des « pumas de pierre ».

Le Mystère du Sarcophage de  Palenque

Le dessin exécuté sur le sarcophage de Palenque, d’un homme aux commandes d’une machine compliquée, semble ressortir d’une idée complexe et confuse. Du fait que l’homme en question soit dessiné avec les genoux repliés presque sur la poitrine et qu’il soit adossé à une machine compliquée d’ou sortent des flammes, certains et parmi eux le Soviétique Alexander Kazantsev, écrivain et savant ont supposé que les Mayas avaient été en rapport avec des visiteurs d’une civilisation supérieure à leur visiteurs qui se servaient d’engins spatiaux. L’interprétation de Kazantsev est difficile à prouver. Cependant le seul objet que nous connaissons aujourd’hui qui ressemble de près au dessin maya est le vaisseau spatial.

Le demi-dieu pour lequel le sarcophage, la crypte et la pyramide ont été exécutés avec tant d’habileté par les artistes mayas, est aussi quelque chose qui nous intrigue. Le corps est radicalement différend de la morphologie des Mayas tels que nous les imaginons ; ce corps est celui d’un homme de presque 6 pieds de haut, donc environ de 8 pouces de plus que celui d’un Maya de taille moyenne. Selon Pierre Honoré le sarcophage a été fait pour ” Le Grand Dieu Blanc “, Kulkulkan, mais en fin de compte, la clef du mystère n’a pas encore été découverte et les jungles tropicales de l’Amérique centrale ou des douzaines de temples et de pyramides sont encore enfouis sous la végétation luxuriante, n’ont pas encore permis de percer le secret du sarcophage de Palenque.

Cette curieuse sculpture est exposée dans un musée du Mexique.

A moins qu’il ne s’agisse d’une oeuvre avant-gardiste,

il se pourrait bien de cela représente la partie moteur d’une antique fusée.

Références :

Jacques Vallée ” Chronique des apparitions extra-terrestres “.

Pierre Honoré ” L’énigme du dieu pré-colombien “.

http://www.youtube.com/watch?v=xafhPtqkAGk 

Je vous conseille aussi de vous connecter dans  le blog de Stéphane, Amel et Chris….

LEUR UNIVERS; MYSTERE; PARANORMAL; FEERIE TOUT CE QUI NOUS PARAIT INSOLITE A PARTAGER AVEC VOUS

http://stephane.vefblog.net/654.html#_Lenigmatique_Tiahuanaco_et_la_relation_avec_Venus

Mais aussi dans le blog de mon Amie Rosine

http://qienplus.wordpress.com/2011/09/09/le-mythe-des-geants/#respond

Dans lequel figure cette vidéo fort instructive

Cet excellent documentaire français est passé sur France 5 dans les années 90 et traite du sujet des géants dans les mythologies et évoque la possibilité que ceux-ci puissent avoir un lien avec les extraterrestres.

 

 

Sublime MACCHU PICCHU en 3D (musical)

Afin de compléter ce billet par de superbes images d’une civilisation perdue, images panoramiques, 3D et interactives, je vous invite a suivre les explications ci-dessous et a cliquer sur le lien joint.

Voilà une bonne idée pour un prochain
voyage. Bonne visite.  

 

La technologie  interactive du web, nous permet de voir les grandes merveilles du monde.

Quand l’image sera établie cliquez sur les cercles en mouvements pour voir certains détails, vous pouvez voir en 3 D en utilisant la souris pour modifier les angles de vues.

Accompagnement musical à la flute de pan .  Cela fait partie du Patrimoine de l’humanité.

Publié 4 septembre 2011 par micdec dans Le Passé

4 réponses à “TIAHUANACO : La plus vieille ville du monde.

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  1. superbe et intéressant !
    merci michel
    norbert

  2. Excellent sujet Michel ! L’Amérique du sud renferme encore bien des trésors pour le mois mystérieux.
    Nous sommes à J- 5 pour nos vancances en France… Nous comptons les jours. J’espère seulement que le soleil sera de la partie.
    Amitiés.
    François-Mary

    • Bonjour Ami.Français-Mary..J moins 5 ? c’est du peu ! Question du temps, nous avons eu de gros gros orages et les températures sont plus fraîches mais le soleil pointe timidement son nez. A cette heure, 16 h 31 il fait 19°,6 C alors qu’il y a deux jours nous frôlions les 32 ° !!!
      Merci du compliment au sujet de l’article mais je n’en suis pas l’auteur !! Je retourne donc ces éloges à son créateur !
      C’est un sujet qui m’a toujours passionné, surtout lorsque j’ai foulé aux pieds, l’an dernier, la dalle sur laquelle repose le Parthénon !! Je dois rajouter des photos in situ dans mon blog de la surface de cette dalle….dont aucun guide n’a pu me parler ! Que de mystères encore !! (il y en a d’autres du même genre dans les temples Maya !!)
      Donc, bon voyage et agréable séjour en France…

  3. Ce samedi 1 septembre 2012 je reçois le message ci-dessous par mail, aussi ne vous étonnez pas de ne plus voir la photo en question :

    Hi there,

    We have received a DMCA Takedown Notice (http://automattic.com/dmca/) for the following material published on your WordPress.com site:

    As such, we were legally required to remove the material from our servers.

    If you wish to challenge this notice we will be happy to provide you with all of the appropriate details.

    Thank you.

    Ryan M.
    WordPress.com | Automattic

    SalutNous avons reçu un avis de retrait du DMCA (http://automattic.com/dmca/) pour le matériel suivant publié sur votre site WordPress.com :https://angescorpion.files.wordpress.com/2011/09/Tiahuanaco-tours.jpgÀ ce titre, nous avons été légalement tenus de retirer le matériel de nos serveurs.Si vous désirez contester cet avis, nous serons heureux de vous fournir tous les détails appropriés.Merci.–Ryan M.WordPress.com | Automattic

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